Marques Avenue Beaune : du rififi dans l’air…
Le député-maire de Beaune, Alain Suguenot a évoqué le dossier Marques Avenue en traitant ce sujet de “surréaliste” car “pour l'instant” il ne possédait aucun dossier sur le sujet. “Pour le moment le dossier est virtuel.” et de dénoncer ensuite un procédé “dangereux et douteux”, voire “d'un autre âge”, qui consiste à distiller certaines informations dans la presse et, en pleine période de crise, de se livrer à une forme de chantage à l'emploi…
Revue de Presse
BEAUNE
Marques Avenue : un dossier « virtuel » pour A. Suguenot
Revue de Presse - Samedi 21 février 2009
Article paru sur le site Le Journal de Saone et Loire
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Revue de Presse
BEAUNE
Marques Avenue : un dossier « virtuel » pour A. Suguenot
Au détour d'une réunion de quartier, jeudi soir, le député-maire de Beaune, Alain Suguenot a été amené à évoquer le dossier Marque Avenues. “C'est un peu un sujet surréaliste”, a lancé ce dernier en soulignant que “pour l'instant je n'ai aucun dossier sur le sujet. En outre la CDAC n'est toujours pas mise en place.” Autrement dit, “pour le moment le dossier est virtuel.”
Plus avant, il devait également dénoncer un procédé, “dangereux et douteux”, voire “d'un autre âge”, qui consiste à distiller certaines informations dans la presse et, en pleine période de crise, de se livrer à une forme de chantage à l'emploi. “Des emplois souvent précaires par ailleurs, tandis qu'il ne s'agit pas de magasins d'usine mais de franchises.”
Déshabiller le territoire
“A titre personnel, je suis contre, a conclu Alain Suguenot, pour qui ce projet est le meilleur moyen de déshabiller le territoire.” “Pour ma part je suis pour des vrais emplois et la préservation du tissu économique existant.”
Dans le même temps, ou presque, le collectif national de contrôle des centres de marques monte lui aussi au créneau. Ce collectif a vu le jour en 2002. Il rassemble les principales organisations professionnelles du commerce qui entendent travailler ensemble “au maintien des équilibres concurrentiels” et organisent une veille permanente des futurs projets de centres de marques en cours d'élaboration (1). Il dénonce notamment “le développement des ventes directes par des fabricants ou des revendeurs, accompagnées de remises souvent factices hors du cadre légal et qui constitue une dérive commerciale préjudiciable à notre économie.”
Un choix de société
“Monsieur Salzman va nous trouver sur sa route”, lance ainsi Marc Necand, chargé de mission auprès de ce collectif. Un chargé de mission pour qui il s'agit là d'un véritable choix de société sachant que les centres de marques - car il s'agit bien de centre de marques et non de magasins d'usine - menacent l'équilibre commercial des villes de façon irrémédiable au profit des holdings financières.”
Xavier Cournault
(1) On y trouve la fédération nationale de l'habillement, dont le président, Charles Melcer est président du "Collectif" ; la fédération nationale des détaillants en chaussure ; la fédération professionnelle des entreprises du sport et des loisirs ; la fédération des détaillants en droguerie équipement du foyer et bazar ; la fédération horlogerie bijouterie orfèvrerie ; la confédération des commerçants de France.
Plus avant, il devait également dénoncer un procédé, “dangereux et douteux”, voire “d'un autre âge”, qui consiste à distiller certaines informations dans la presse et, en pleine période de crise, de se livrer à une forme de chantage à l'emploi. “Des emplois souvent précaires par ailleurs, tandis qu'il ne s'agit pas de magasins d'usine mais de franchises.”
Déshabiller le territoire
“A titre personnel, je suis contre, a conclu Alain Suguenot, pour qui ce projet est le meilleur moyen de déshabiller le territoire.” “Pour ma part je suis pour des vrais emplois et la préservation du tissu économique existant.”
Dans le même temps, ou presque, le collectif national de contrôle des centres de marques monte lui aussi au créneau. Ce collectif a vu le jour en 2002. Il rassemble les principales organisations professionnelles du commerce qui entendent travailler ensemble “au maintien des équilibres concurrentiels” et organisent une veille permanente des futurs projets de centres de marques en cours d'élaboration (1). Il dénonce notamment “le développement des ventes directes par des fabricants ou des revendeurs, accompagnées de remises souvent factices hors du cadre légal et qui constitue une dérive commerciale préjudiciable à notre économie.”
Un choix de société
“Monsieur Salzman va nous trouver sur sa route”, lance ainsi Marc Necand, chargé de mission auprès de ce collectif. Un chargé de mission pour qui il s'agit là d'un véritable choix de société sachant que les centres de marques - car il s'agit bien de centre de marques et non de magasins d'usine - menacent l'équilibre commercial des villes de façon irrémédiable au profit des holdings financières.”
Xavier Cournault
(1) On y trouve la fédération nationale de l'habillement, dont le président, Charles Melcer est président du "Collectif" ; la fédération nationale des détaillants en chaussure ; la fédération professionnelle des entreprises du sport et des loisirs ; la fédération des détaillants en droguerie équipement du foyer et bazar ; la fédération horlogerie bijouterie orfèvrerie ; la confédération des commerçants de France.
Revue de Presse - Samedi 21 février 2009
Article paru sur le site Le Journal de Saone et Loire
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