Viaduc Village La Cavalerie - Revue de Presse

Projet du centre de marques "Viaduc Village" à la Cavalerie

Revue de presse

16 avril 2009 : Le futur visage de Viaduc-Village
7 avril 2009 : La Cavalerie : 100 emplois pour le futur Centre de marques
5 avril 2009 : Michel Troupel Porteur du projet "Viaduc Villages" à la Cavalerie
15 janvier 2009 : Viaduc Villages, le village de marques de la Cavalerie avance au galop


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Les magasins d'usine à Troyes - Revue de Presse

Les magasins d'usine et centres de marques à Troyes

Revue de presse

26 avril 2009 : villages de marques : l'avis de Robert Rochefort directeur du Crédoc à Paris
26 avril 2009 : Troyes, la capitale française des villages de marques
26 avril 2009 : 3 questions à… Dominique Lemelle président de la chambre de commerce de Troyes
29 mars 2009 : Interview du Dimanche : François Baroin


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Happy Days Shopping - Revue de Presse

Un projet de centre commercial nommé "Happy Days Shopping" est à l'étude sur la zone d'activité de la communauté de communes du Val de Somme à Villers Bretonneux en Picardie.

Revue de presse

28 avril 2009 : Villers-Bretonneux (80) : le projet Happy Days Shopping contesté
20 avril 2009 : Une étude sur l'impact d'Happy Days Shopping
20 avril 2009 : "Projet Happy Days Shopping" : les élus d'Amiens Métropole souhaitent une étude impartiale




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Marques Avenue Montpellier (Odysseum) - Revue de Presse

L'annonce le 26 mars dernier de l'implantation d'un village de marques de l'enseigne Marques Avenue sur le site de l'Odysseum 2 à Montpellier a défrayé la chronique ! Retrouvez une revue de presse spécialement consacrée à ce sujet.

Revue de presse
29 mai 2009 : S'emballerait-on sur le village de marques ?
28 mai 2009 : Montpellier : un débat sur le village des marques
26 mai 2009 : Montpellier : la cci temporise pour le village des marques
10 mai 2009 : Vagues à surf et bandits manchots
4 mai 2009 : Marques Avenue sème la discorde à Montpellier
1er mai 2009 : Sur proposition de Raymond Couderc, l'Agglo de Béziers s'oppose au village des marques
1er mai 2009 : Montpellier - Village de marques : motion votée, avec réserves
29 avril 2009 : Le village de marques aura au moins animé le conseil municipal
29 avril 2009 : Hérault - Village de marques : des projets avaient échoué
28 avril 2009 : Béziers : Deux projets de village de marques avaient échoué dans l'Hérault
28 avril 2009 : Vehzinet s'oppose aussi au village des marques
26 avril 2009 : UFC - Que Choisir : "Une offre de plus"
26 avril 2009 : villages de marques : pourquoi les marques s'y pressent
26 avril 2009 : villages de marques de Montpellier : les raisons de la polémique
26 avril 2009 : Plongée dans l'univers des village de marques
23 avril 2009 : Les commerçants vraiment pour le "Village de Marques" ?
23 avril 2009 : Le sondage qui dit oui au Village de Marques
23 avril 2009 : Sondage : plébiscite pour le village de marques
22 avril 2009 : 71% des Montpelliérains favorables à l'implantation du Village de Marques
18 avril 2009 : Couderc demande une concertation à l'échelle régionale
16 avril 2009 : Concertation régionale pour le Village des marques
16 avril 2009 : Village des marques : Ce sont les études qui trancheront
15 avril 2009 : Montpellier - Village des marques : le temps des études
14 avril 2009 : Village des marques : Hélène Mandroux propose la tenue d'une table ronde
14 avril 2009 : Mandroux "pas opposée" au "village des marques"
8 avril 2009 : Le village des marques prévu à Montpellier sera le plus grand
7 avril 2009 : Le concept existe déjà ailleurs
7 avril 2009 : Marques Avenue "On ne vend pas la même chose"
6 avril 2009 : Village des marques : cap 21 est contre
5 avril 2009 : Vent de panique du petit commerce…
5 avril 2009 : Michel Troupel Porteur du projet "Viaduc Villages" à la Cavalerie
5 avril 2009 : La colère des commerçants du centre-ville
4 avril 2009 : Montpellier : Ces commerçants qui ne veulent pas du village des marques
3 avril 2009 : Réactions de Georges Frêche et Jean-Pierre Fabre
3 avril 2009 : Un putch d'Hélène Mandroux ?
3 avril 2009 : Fusion des CCI et dossier Marques Avenue en débat
3 avril 2009 : Georges Frêche : 1; Hélène Mandoux : 2
3 avril 2009 : Le village des marques pourrait rebondir en périphérie
2 avril 2009 : L'Agglomération et la ville de Montpellier s'opposent sur le "village des marques"
2 avril 2009 : Village de marques : Fabre félicite Mandroux
2 avril 2009 : Village de marques : l'ultimatum de Frêche
2 avril 2009 : Robert Muret garde une dent contre Georges Frêche
2 avril 2009 : Frêche fera le village de marques avec ou sans Mandroux
1 avril 2009 : Couderc tire sur le village de marques
31 mars 2009 : Motion de Raymond Couderc contre l'installation d'un village de marques à Montpellier
31 mars 2009 : Le village de marques : Mandroux dit non
31 mars 2009 : Le village de marques : au tour de Couderc de dire non
30 mars 2009 : Village de marques : Hélène Mandroux se positionne contre le projet
30 mars 2009 : Odysseum 2 : Jean-Louis Roumégas écrit une lettre ouverte au maire
30 mars 2009 : Hélène Mandroux s'oppose au "village de marques"
27 mars 2009 : Un village de marques populaire
27 mars 2009 : L'Écusson doit faire dans le luxe
27 mars 2009 : Repères : l'implantation
27 mars 2009 : Marques avenue, c'est pour le printemps 2012
27 mars 2009 : Le village des marques ouvrira le 21 mars 2012
26 mars 2009 : La chambre de commerce contre le villages des marques
26 mars 2009 : Frêche annonce un village de marques de 86 boutiques à Odysseum en 2012
25 mars 2009 : Jean-Pierre FABRE, Président de la chambre de commerce
23 mars 2009 : Couderc : la phobie des grands projets ?

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marques partenaires de Marques Avenue : Sandro, Bel Air, Princesse Tam Tam, IKKS, tara Jarmon, Hugo Boss, Carven, Cafe Coton, Jerem, Le Temps des cerises, Levi's, Teddy Smith, School Rag, Adidas, Nike, Puma, Le Coq Sportif, Reebok, Petit Bateau, Marèse, Jacadi, Catimini, Weston, Emling, Clarks, Manfield, Lancel, Delsey, Le Tanneur, Sequoïa, Seb, Tefal, Calor, Moulinex, Rowenta, Krups…

Marques Avenue : vent de discorde à Montpellier

Revue de Presse

Marques Avenue sème la discorde à Montpellier

Le projet de magasin d'usine voulu par Georges Frêche soulève un tollé chez les commerçants du centre-ville.

Toujours plus grand. À Montpellier, Odysseum frôle déjà le gigantisme avec ses cinémas, ses restaurants, son aquarium, sa patinoire et ses nombreux magasins Decathlon, Casino, Ikea. Et ce n'est pas fini puisque arrive maintenant Odysseum 2, dont le cœur sera un centre commercial Marques Avenue du groupe Concepts & Distribution. Ce sera le premier dans le sud de la France.

C'est un investissement de 44 millions d'euros pour un ensemble de 86 boutiques dessiné par l'architecte Jean-Michel Wilmotte. L'inauguration est prévue en mars 2012 avec un objectif d'au moins 2,5 millions de visiteurs chaque année. «Nous estimons à 66 millions d'euros le chiffre d'affaires qui pourra être réalisé à Montpellier. En moyenne, le consommateur parcourt 133 kilomètres pour rejoindre un Marques Avenue, bien plus même pour celui de Troyes (264 kilomètres). Il vient trois fois par an et son panier moyen est de 138 euros», indique Alain Salzman patron de Concepts & Distribution. Il exploite huit Marques Avenue et a réalisé 300 millions d'euros de chiffres d'affaires en 2008.

L'idée d'implanter Marques Avenue à Montpellier a vite séduit Georges Frêche. Le président de l'agglomération est en quête permanente de locomotives commerciales pour faire décoller le centre Odysseum. Mais Odysseum 2 provoque des réactions. «Ici, il y a plus de grandes surfaces qu'à Toulouse, affirme Odette Daudé qui fédère la colère des commerçants indépendants du centre-ville. On veut tuer le petit commerce qui souffre d'un plan de circulation impossible et du manque de places de parking» Son argumentaire est simple : les commerces du centre-ville emploient 5 000 salariés ; « es champignons commerciaux» vont créer 360 postes.

"Tenir compte de la crise actuelle"

Hélène Mandroux, maire socialiste amie politique de Georges Frêche, a pris le dossier en main. «Nous avions signé un accord avec les commerçants pour terminer la première tranche d'Odysseum. Je peux refuser d'accorder le permis de construire», a-t-elle d'abord menacé, soutenue à la fois par les commerçants, la chambre de commerce et les Verts. Hélène Mandroux a finalement demandé à Marc Dufour, son adjoint au commerce, une étude d'impact. Celle-ci s'annonce complexe. «Les études d'impact sur les implantations de village des marques ne brillent pas par leur impartialité, à charge ou à décharge, explique Marc Dufour. Il faut une nouvelle étude qui tienne compte de la crise actuelle et de l'essor du discount. Il faut surtout calculer quelle frange du petit commerce serait touchée et quelles aides pourraient être mises en place pour redynamiser le centre-ville.»

Georges Frêche a donné deux mois à la Mairie de Montpellier pour redevenir coopérative. Sinon, il a déjà une solution à ce problème : installer Marques Avenue sur le territoire d'une commune limitrophe.

Claude Belmont

Revue de Presse - Lundi 4 mai 2009
Article paru sur le site Le Figaro

Consulter la revue de presse spéciale Marques Avenue Montpellier

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Village de marques de Montpellier : un sondage en forme de plébiscite

Revue de Presse

Sondage : plébiscite pour le village de marques

71 % des Montpelliérains sont pour l'installation de 86 boutiques de vêtements à prix cassés à Odysseum.

71 % des Montplliérains sont favorables à l'implantation d'un village de marques dans leur ville. C'est le principal résultat d'un sondage commandé par Marques avenue à l'institut Ifop *. Cette étude fait suite à l'annonce par le président de l'Agglo, Georges Frêche, il y a un mois, de l'arrivée de 86 boutiques de prêt-à-porter à prix cassés à Odysseum 2 en 2012. Autre donnée intéressante : 78 % des Montpelliérains interrogés préfèrent que le village de marque s'installe dans leur ville plutôt que dans une autre grande ville du sud de la France. Un résultat surprenant : 67 % des artisans et commerçants questionnés estiment que le projet est complémentaire avec les commerces existants en centre-ville !

* Réalisé du 6 au 8 avril dernier, auprès d'un échantillon de 1004 personnes selon la méthode des quotas.

Revue de Presse - Mardi 28 avril 2009
Article paru sur le site La Gazette de Montpellier

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Béziers : les projets de village de marques

Revue de Presse

BEZIERS
Deux projets de villages de marques avaient échoué dans l'Hérault

On vient de l'apprendre : au moment ou un projet de village de marques alimente la polémique à Montpellier, deux autres projets avaient été envisagés dans le département depuis environ deux ans. Le premier, dans le secteur de Montpellier et Colombiers, avait été rejeté par le maire de Béziers,Raymond Couderc, qui craignait les conséquences négatives de cete implantation sur le commerce de détail. La seconde piste, envisagée à Bessan, secteur d'Agde, n'avait pas pu aboutir, le terrain visé n'étant pas encore aménageable à l'époque.

Revue de Presse - Mardi 28 avril 2009
Article paru sur le site Midi Libre

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Village de marques de Montpellier : l'avis de l'UFC - Que Choisir

Revue de Presse

UFC - Que Choisir
"Une offre de plus"

L'UFC-Que Choisir, une des principales associations de défense des consommateurs, n'a pas de position officielle sur les villages des marques. Ce qui n'empêche pas Claude Gaubert, le président de son antenne montpelliéraine, d'en avoir une. « Un village des marques, c'est une offre supplémentaire pour les consommateurs. Ça ne peut être qu'une bonne chose », dit-il.

Pour s'être rendu dans les villages des marques de Troyes (Aube) et de Romans (Drôme), il veut néanmoins attirer l'attention des consommateurs sur les prix : « Il ne faut pas croire qu'ils sont très compétitifs. Ils s'apparentent en général à ceux des soldes d'après-saison. » Pour Claude Gaubert, il faut donc « faire preuve de vigilance et continuer à faire jouer la concurrence ».

Quant

à l'impact sur le commerce, il observe : « Si les magasins situés à l'extérieur du village des marques se positionnent bien, cela leur fera une clientèle en plus, susceptible d'aller chez eux. »

P.B.

Revue de Presse - Dimanche 26 avril 2009
Article paru sur le site Midi Libre

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Le Village des marques de Montpellier anime le conseil municipal

Revue de Presse

Politique
Le villages de marques aura au moins animé le conseil municipal

Il s'était placé en première ligne du front de contestation au projet montpelliérain défendu par Georges Frêche. Il continue de l'animer. Lundi soir, Raymond Couderc a invité le sensible débat du village de marques à la table du conseil municipal de Béziers. En proposant aux élus de se positionner via une motion d'opposition au « projet dans sa forme initiale » et en appelant à une large concertation régionale. Non sans avoir étrillé, en introduction du débat, « une opération égoïste qui va causer un grave préjudice au commerce de la Région », « en asséchant le commerce de détail », sans comparaison possible, prendra-t-il soin d'indiquer, avec un projet tel que celui du carrefour de l'Hours. La première intervention, signée Jean-Louis Bousquet, réservait son lot de surprise.

Raymond Couderc le croque régulièrement en porte-voix de Frêche. Celui qui est aussi président du groupe PCF à la Région va prendre le maire de Béziers à contre-pied : « Je suis radicalement opposé au village de marques. Ça n'apporte quasiment rien en terme d'offre commerciale, mais ça fait perdre des emplois. » Et d'estimer la motion trop timorée, sur fond de sous-entendus électoralistes. « Ça manque de courage politique », lâche l'élu PCF, bientôt rejoint par Aimé Couquet.
Raymond Couderc saisit la balle au bond : « Si je l'ai rédigé comme ça, c'est pour éviter de donner l'impression d'un affrontement entre le maire de Béziers et le président de la Région, mais si vous êtes prêts à voter un texte plus dur, je suis prêt à le rédiger. » Pierre Callamand (PS) ironise : « Ces scrupules vous honorent, mais c'est le carrefour de l'Hours qui pose problème pour le commerce. » Le chef de file socialiste, Jean-Michel Du Plaa, appuie : « C'est un peu l'hôpital qui se moque de la charité. Quand je discute avec les commerçants, ce n'est pas du village de marques dont ils me parlent... » Suit une passe d'arme sur l'exclusion des CCI des CDAC (nouvelles CDEC) et un échange coloré : « Faites-moi confiance, je saurai faire preuve d'autant de mauvaise foi que vous ce soir », lance Raymond Couderc. « Jusqu'à présent, vous ne nous avez jamais déçus dans ce registre », répond Jean-Michel Du Plaa en annonçant une abstention socialiste. « Le courage politique ne vous étouffe pas », rebondit Raymond Couderc.
Une intervention d'Alain Ricard (FN) plus tard, le débat s'achève par le vote d'une motion modifiée en direct. Celle-ci indiquant in fine que « le conseil municipal s'opposera avec fermeté à tout projet de village de marques », en demandant une large concertation régionale sur le projet envisagé. Une motion votée par les élus, moins quatre abstentions socialistes. Et donc validée par Jean-Louis Bousquet qui se sera finalement positionné sur ce sujet, ni comme Georges Frêche, ni comme son chef de groupe biterrois.

Manuel CUDEL

Revue de Presse - Mercredi 29 avril 2009
Article paru sur le site Midi Libre

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Montpellier : la motion du village des marques votées avec réserves

Revue de Presse

Agglo
Village de marques : motion votée avec réserves

Qu'allait faire le maire de Sérignan, Frédéric Lacas, à l'heure de voter ou non une motion s'opposant à la création d'un village de marques à Montpellier, motion souhaitée par le président de l'Agglo Raymond Couderc et présentée jeudi à Sérignan lors du conseil communautaire ? Lacas, le nouvel "ami" de Frêche. Lacas qui s'apprête à accueillir un lycée porté par la Région. Lacas pris entre deux feux bouillants, Couderc et Frêche.
« On s'abstiendra, ce n'est pas dit qu'on rejoigne ensuite d'autres avis... », a-t-il indiqué. Pas dit donc que Lacas ne dise pas amen au village de marques de Frêche. Mais pas dit non plus qu'il ne rejoigne pas Couderc dans sa croisade contre un projet qui pourrait aboutir « à des centres-villes pourris et à des galeries marchandes abandonnées à 200 km

à la ronde », estimait pour sa part le président d'Agglo.
Oui mais voilà, Frédéric Lacas n'a « pas encore assez d'éléments, on ne peut pas en débattre correctement, je n'ai pas ton expérience », a-t-il lancé à Raymond Couderc. Face à cette « méconnaissance du dossier », les trois élus de Sérignan se sont abstenus. Tout comme deux élus de Villeneuve, Jean-Paul Galonnier et Arnaud Marty - la troisième, Ariane Soto, ayant voté pour -. Car au-delà du cas Frêche, c'est surtout l'opposition interne à l'Agglo qui s'est réveillée jeudi soir, contestant les méthodes de Raymond Couderc : « On ne fait pas passer une motion que l'on nous donne au dernier moment sous prétexte que le conseil municipal de Béziers l'a votée », commentait en aparté à l'issue du conseil Jean-Paul Galonnier.
Le Sérignanais Jacques Dupin a même carrément renvoyé la pierre dans le jardin du sénateur Raymond Couderc : « Vous êtes législateur. Si la situation est aussi apocalyptique que ça, les parlementaires doivent prendre leurs responsabilités et faire passer un texte de loi » pour interdire les villages de marques.
Ping-pong à la clé version Couderc : « Est-ce que ce n'est pas aux élus locaux d'avoir assez de courage pour dire ce qu'on veut et ce qu'on ne veut pas ? ». Le manque de courage : le président d'Agglo avait déjà utilisé l'argument lors de la fronde anti-impôt agglo. Mais Raymond Couderc a su trouver à ses côtés des gens courageux... Le vice-président et maire de Boujan, Philippe Rougeot, a dit suivre « la sagesse de l'avis des CCI » - opposées au village de marques -, tandis que des soldats biterrois, Gérard Niel et René Pinazza, venaient au secours de leur chef de file.
Quant à Guy Combes, le maire de Valras-Plage, il réussissait l'exploit de se fâcher avec Sérignan et Béziers à la fois... Il votait pour la motion, sur la base de « la défense du petit commerce local » mais a dit « souhaiter qu'on soit aussi attentif quand les grandes surfaces demandent des extensions et que l'on perturbe de fait le commerce local de nos villages ». Allusion à l'Hyper U de Sérignan et à l'Auchan biterrois... Ainsi qu'à leurs maires respectifs.

Arnaud BOUCOMONT

Six conseillers se sont abstenus : les trois de Sérignan, deux de Villeneuve et le Lignanais Alain Peyré, suppléant d'André Pérez-Blanc.

Revue de Presse - Vendredi 1er mai 2009
Article paru sur le site Midi Libre

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Les Collines de Honfleur : avis favorable de la Cdac

Revue de Presse

Actualité
Edouard François réalisera « Les Collines de Honfleur »

Le projet de centre de marques (18.000 m² GLA, première phase) développé par MAB Development, en partenariat avec NEINVER et l’architecte urbaniste a reçu l’avis favorable de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial (CDAC) du Calvados. Ouverture prévue au plus tard au printemps 2012.

Le 24 avril 2009, le projet de centre de marques « Les Collines de Honfleur », développé par MAB Development, en partenariat avec NEINVER et l’architecte urbaniste Edouard François (photo ci-contre), a reçu l’avis favorable de la Commission Départementale d’Aménagement Commercial (CDAC) du Calvados. L’accord majoritaire (11 voix pour, 2 contre et 1 abstention) lance la réalisation du projet « Les Collines de Honfleur », centre de marques d’une surface d’environ 18.000 m² GLA (1ère phase) situé sur la commune de Honfleur, au pied du Pont de Normandie. L’ouverture au public est prévue au plus tard au printemps 2012.

Un centre inscrit au coeur du projet du « Parc d’Activités Calvados Honfleur »

« Les Collines de Honfleur » constituent l’un des éléments du projet économique et écologique du « Parc d’Activités Calvados Honfleur », qui s’étend sur un terrain de 125 hectares au pied du Pont de Normandie. L’objectif de ce projet est d’accroître l’attractivité du territoire par la création d’activités complémentaires à celles déjà présentes, notamment dans les secteurs de la logistique, du tertiaire, de l’artisanat et de l’industrie. Le syndicat mixte composé du département du Calvados, de la ville de Honfleur, de la CCI du Pays d’Auge et du Grand Port Maritime de Rouen souhaite ainsi créer de nouveaux emplois, dans le cadre d’un développement économique équilibré tout en garantissant le respect de l’environnement. L’aménagement du Parc d’activités a été confié à la SHEMA, SEM normande spécialisée dans l’aménagement, la construction et le développement économique.

Le centre de marques participera à ces objectifs en regroupant des marques à forte notoriété proposant une offre moyen et haut de gamme à des prix toute l’année inférieurs de 30% au moins par rapport aux circuits traditionnels de distribution. Il renforcera l’activité économique existante en développant un véritable tourisme commercial créateur de près de 400 emplois (1ère phase) à 500 emplois directs et indirects au terme de la 2ème phase.

FOCUS

« Les Collines de Honfleur » en quelques chiffres

• 18.000 m² GLA / 15.200 m² de surface de vente (1ère phase)

• Une centaine de boutiques et des services environ

• Zone de chalandise : 1,8 millions d’habitants et 3,5 millions de touristes chaque année à Honfleur

• 400 (1ère phase) à 500 nouveaux emplois directs et indirects à terme

• Ouverture : 2012 au plus tard

• Créateur et promoteur : MAB Development

• Architecte : Edouard François

• Commercialisateur, investisseur et gestionnaire : NEINVER

Revue de Presse - Mardi 12 mai 2009
Article paru sur le site Le Moniteur

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Les commercants de Montpellier contestent l'optimisme d'Alain Salzman

Revue de Presse

Montpellier
S'emballerait-on sur le village des marques ?

RÉACTION
Les commerçants de centre-ville contestent l'optimisme du promoteur et de l'élu Alain Salzman, le promoteur du village des marques à Odysseum, et Marc Dufour, l'adjoint au maire en charge du commerce, sont-ils allés vite en besogne en laissant entendre que le projet bénéficiait d'un consensus de la part des associations de commerçants ? Visiblement oui, si l'on en croit les réactions en cascade à leur conférence de presse commune, mercredi, à l'issue de la première réunion sur le sujet en mairie (lire notre édition d'hier). « Ne mettons pas la charrue devant les boeufs , lance Odette Daudet, de l'association des commerçants de la Grand-Rue. Ce n'était que la première réunion sur les quatre prévues. Il y a des études en cours, attendons d'en connaître le contenu

avant de s'exprimer définitivement sur le projet de village des marques. Il n'y a donc pas de consensus, juste une discussion. » Pour Nadine Fraïsse, présidente d'Écusson Plus, « il est clair qu'un Village des marques ne peut être débattu qu'une fois qu'on aura analysé l'impact de l'ouverture du centre commercial Odysseum. Il faut au moins un an d'activité. » Hier, une réunion du groupe "commerce" s'est tenue à la CCI. « Je suis solidaire des commerçants du centre-ville face au projet de village des marques. Le président de la CCI doit rétablir la vérité » , commente Michel Combettes, vice-président "commerce". « C'est trop tôt mais nous sommes pour la concertation », tranche justement Jean-Pierre Fabre, président de la CCI. Président de la Faduc, Alain Simon s'emporte. « Comment se permettent-ils de dire des choses pareilles alors que c'est le contraire. C'est scandaleux. Le seul consensus porte sur la demande prioritaire de tout le monde de respecter les clauses du protocole d'accord Odysseum. Après, on verra. On n'en est pas là, on n'est pas à Las Vegas » , dit-il. Avant d'ajouter : « J'aimerai bien savoir ce qu'en pense Mme le maire. »

Karim MAOUDJ

Revue de Presse - Vendredi 29 mai 2009
Article paru sur le site Midi Libre

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Le magasin d'usine du fabricant de vélos Quatum à Valenciennes se porte bien !

Revue de Presse

Extrait du dossier
Décathlon : locomotive ou rouleau compresseur ?

Production. «Leur énorme succès nous rend la vie difficile»

À Valenciennes, le fabricant de vélos Quantum ne cache pas des difficultés liées à l'essor de la grande distribution spécialisée. Troisième fabricant français de cycles, le groupe valenciennois Quantum (CA: 6M€) a dû licencier en masse fin 2007. L'effectif est tombé à une cinquantaine de salariés alors qu'ils ont été jusqu'à 160dans l'atelier de Marly. Pour son P-dg Yves Amiel, la cause de tous les maux se trouve dans les rayons de vente: «Nos difficultés sont liées à l'essor d'enseignes comme Décathlon, un concurrent de poids, car le marché français a énormément évolué vers la grande distribution spécialisée, contrairement à l'Allemagne où 87% sont détenus par des détaillants. Les grandes enseignes françaises ont pris beaucoup de parts de marché aux détaillants spécialisés et ont très bien réussi leur développement grâce à leur communication. L'énorme succès de Décathlon nous rend la vie difficile», ajoute-t-il acceptant la loi du marché.

La roue tourne à deux vitesses Quantum se bat à son échelle, mais pas à armes égales. «Le marché du vélo est globalement bon. Nous n'avons pas honte de nos produits avec un excellent rapport qualité-prix. Nous avons un magasin d'usine qui marche très bien, avec un taux de concrétisation de 70%, mais nous manquons de réseaux de distribution. C'est un problème pour nous qui ne sommes qu'une PME», reconnaît Yves Amiel. Quant au projet de Décathlon de fabriquer des cycles dès 2010 à Lille, dans son B'Twin Village, Yves Amiel n'y a «jamais cru» vu la stratégie de production à bas coûts de la grande distribution. Selon le magazine Bike Europe, le projet serait d'ailleurs reporté de 2ans face aux stocks engrangés. Chez Décathlon, on maintient une ouverture «courant 2010» du site lillois qui abritera au moins un magasin.

Dossier réalisé par Thomas Baume et Géry Bertrande

Revue de Presse - Vendredi 1er mai 2009
Article paru sur le site Le Journal des Entreprises

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Le village des marques de Montpellier fait débat

Revue de Presse

Montpellier
Un débat sur le village de marques

Si l'on en croit la Ville, par la voix de son adjoint aux affaires commerciales, Marc Dufour, le patron de Marques avenue, Alain Salzman, et le directeur général du promoteur Icade, Antoine Nougarède, la réunion d'hier après-midi, à laquelle participaient, entre autres, les responsables des organisations patronales et les présidents d'associations de commerçants du centre-ville, « s'est déroulée dans un climat constructif où chacun a expliqué ses attentes ».

Même Nicolas Chambon, le président de la Socri et administrateur de Polygone, pourtant marri d'avoir à supporter l'implantation de ce mastodonte économique, l'admet. Autrement dit, tout va bien ou presque dans le petit monde du commerce local. « Je n'ai pas entendu : "C'est nul", "Je n'en veux pas"

ou encore "Ça serait mieux ailleurs", assure Alain Salzman. Tous les participants ont reconnu qu'un village des marques est un pôle attractif et que celui-ci n'a de sens que s'il y a des passerelles avec le centre-ville ; et j'en conviens totalement. »

Passerelle : le mot est lâché. Le patron de Marques avenue sait que désormais il devra, s'il veut s'implanter, lâcher du lest ou tout du moins se plier à certaines exigences - pas encore définies ! - de la Ville et des commerçants. « À Tours, on a établi, lors des négociations avec la Ville, un protocole en onze points que nous avons appliqué. » Voilà de quoi rassurer voire même allécher l'adjoint aux affaires commerciales. Mais avant cela, il faudra tout de même que l'un et l'autre se plient aux résultats des études commandées par les deux parties.

« Ce n'est qu'à l'issue que nous trancherons, confie Marc Dufour. Si l'une des deux études montre que 20 % du commerce de centre-ville ne peut résister au village des marques, on refusera son implantation. » De quoi faire sourire jaune Alain Salzman : « Alors, on ira voir ailleurs. Nous sommes très sollicités par des villes proches de Montpellier. Mais j'avoue que je ferai tout pour m'implanter ici car ce lieu est extraordinaire avec la jonction entre l'A 9, la Route de la mer et Odysseum. J'ai tout mon temps. Si on n'ouvre pas en 2012, on le fera en 2013. » Il faudra juste attendre la réponse de la Ville, fin juin .

Gil LORFÈVRE

Revue de Presse - Jeudi 28 mai 2009
Article paru sur le site Midi Libre

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L'influence des village de marques sur le centre-ville de Troyes

Revue de Presse

3 questions à…
Dominique LEMELLE président de la chambre de commerce de Troyes

Un village des marques impacte le centre-ville à sa création. Qu'en est-il aujourd'hui ?
Les centres de marques et les magasins d'usine suscitent toujours la polémique. Mais, à Troyes, si quelques commerçants de prêt-à-porter ont souffert par l'ouverture successive de trois centres de magasins d'usine, ces derniers ne pouvaient à eux seuls être tenus responsables des difficultés du commerce de centre-ville. Ils ont même contribué à accélérer sa restructuration.

Comment la polémique a-t-elle pris fin ?
Des politiques d'accompagnement ont été mises en place pour permettre une bonne intégration de ces centres dans le paysage commercial troyen : création de halte d'accueil dans les centres afin de renvoyer les touristes commerciaux

en centre-ville, opérations de "couponing" donnant droit à diverses réductions dans les commerces et services du centre-ville. En outre, la ville de Troyes s'est engagée dans une stratégie de requalification urbaine, visant à renforcer le dynamisme de l'appareil commercial troyen.

Alors, quelles retombées ?
Les retombées économiques indirectes sont évaluées à 50 M€, hors chiffre d'affaires des centres, dont la moitié pour les hôtels, cafés et restaurants. Nous estimons à 400 000 le nombre de touristes commerciaux qui se rendent chaque année dans le centre-ville.

Revue de Presse - Dimanche 26 avril 2009
Article paru sur le site Midi Libre

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La Cdac approuve le projet du Village des marques à Honfleur

Revue de Presse

Feu vert donné au Village des marques - Honfleur

La Commission départementale d'aménagement commercial a approuvé le projet. Au grand dam d'un collectif de commerçants bas-normands.

Questions-réponses

Qu'est ce que le Village des marques ?

Un parc d'activités de 125 hectares au pied du pont de Normandie. Une partie sera dévolue au commerce : 120 boutiques de moyennes et grandes marques proposeront des articles déstockés. À ce pôle commercial s'ajoutera une zone logistique, industrielle et tertiaire. 3 000 créations d'emplois sont prévues d'ici à cinq ans.

Où en est le projet ?

Hier matin, la Commission départementale d'aménagement commercial (CDAC) a donné un avis favorable au Village des marques. Le projet a été approuvé à une large majorité : 11 voix pour et 2 contre. Les enseignes vont pouvoir faire leurs demandes de permis de construire.

Qui s'y oppose et pourquoi ?

Les commerçants de Honfleur, mais pas seulement. Car le futur site rayonne sur une zone de chalandise de 200 km. Aussi les commerçants ont constitué un collectif cette semaine. Son nom : « Les professionnels des commerces de centre-ville, passionnés et citoyens ». Celui-ci regroupe huit associations de commerçants des villes de Honfleur, Deauville, Caen, Saint-Pierre-sur-Dives, et Saint-Arnoult. « Comment allons nous survivre face à des magasins qui vont consentir des réductions de 30 à 70 % ? », interroge le collectif.

Et maintenant ?

Après l'approbation du projet par la CDAC, les membres du collectif n'excluent pas de déposer un recours devant la Commission nationale de l'aménagement commercial (CNAC). Les commerçants détermineront dans les prochains jours les suites à donner à leur action.

Hervé NAUDOT.

Revue de Presse - Samedi 25 avril 2009
Article paru sur le site Ouest France

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Odysseum Montpellier : au-delà du Village de marques

Revue de Presse

Vagues à surf et bandits manchots

A regarder de près les projets étudiés, la fréquentation d'Odysseum risque fort d'augmenter, et considérablement, s'ils se réalisent tous.

Il y a bien sûr le projet d'installation d'un Village des marques, porté par Marques Avenue. L'annonce de cette implantation, créatrice de 360 emplois, a été faite le 26 mars dernier. Elle comprend l'installation de 86 magasins, sur 18 000 m 2 . L'ouverture est prévue pour mars 2012. Si ce complexe commercial doit normalement voir le jour sur une extension d'Odysseum, plusieurs villes de l'agglo de Montpellier sont néanmoins candidates à son accueil, sûrement au cas où...

Après l'aquarium Mare Nostrum qui va s'agrandir, sont envisagées deux nouvelles attractions. La première n'est rien d'autre qu'une vague permanente, qui pourra

accueillir les surfeurs. Cette vague artificielle - reproduction exacte de sa plus mythique consoeur du Pacifique, dit-on à l'agglo - sera générée dans un bassin adapté. « Ça coûtera bien moins cher que d'aller à Hawaï », observe Georges Frêche, le président de l'agglo de Montpellier. Le projet est porté par une société baptisée Vague et Vent ; il est toujours en négociation.

Seconde attraction annoncée : un simulateur de sauts en parachute, de chute libre en fait. Le concept s'amarre à une sorte de tuyau à l'intérieur duquel est reproduite la sensation d'apesanteur. Séduisant, non ? Mais, aux dernières nouvelles, qui dataient d'avril, le porteur du projet peinait à réunir l'argent nécessaire.

L'agglo de Montpellier veut également développer l'offre en matière de restauration. Trois nouveaux établissements, dont un japonais et une crêperie "à la française", négocient leur venue.

Ensuite, dans le prolongement d'Ikea qui étend ses surfaces, les frères Jacques et Laurent Pourcel, créateurs du restaurant étoilé Le Jardin des Sens à Montpellier, préparent l'installation d'un complexe hôtel - restaurant de luxe. Sur cette future extension qui les accueillera, est également prévue l'ouverture d'un casino. Pour cet établissement de jeux, les négociations ne sont pas encore engagées.

Enfin, si les chantiers continueront de fleurir sur Odysseum, il y en aura aussi beaucoup autour. Car l'agglomération de Montpellier envisage de créer un quartier d'affaires sur le secteur de la future gare TGV. En clair, autant de projets qui auront à tout coup un impact sur la fréquentation d'Odysseum.

Revue de Presse - Dimanche 10 mai 2009
Article paru sur le site Midi Libre

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Le projet d' "Happy Days Shopping" en Picardie inquiète

Revue de Presse

Projet "Happy Days Shopping" :
les élus d'Amiens Métropole souhaitent une étude impartiale

Piloté par la Communauté de communes du Val de Somme, le projet commercial Happy Days Shopping suscite de légitimes interrogations sur le territoire de la Communauté d’agglomération d’Amiens Métropole et au-delà.

Attaché aux logiques de cohésion qui conditionnent l’existence du Pays du Grand Amiénois, dont sont membres les deux communautés, le Conseil d’Amiens Métropole a donc souhaité, dans un vœu voté ce 17 avril, qu’une étude soit menée sur l’impact de ce projet sur les activités commerciales et sur ses potentialités en termes d’emploi, et que soit élaboré sur la base de cette étude un projet commercial adapté à la Communauté de communes du Val de Somme.

Les présentations du projet commercial Happy Days Shopping situé sur le territoire de la commune de Villers-Bretonneux et piloté par la Communauté de communes du Val de Somme alimentent depuis plusieurs mois des interrogations légitimes.

Ce projet, par son importance et sa modalité :

• crée un pôle régional de consommation qui réduit les opportunités de développement commercial futur des autres territoires du Pays du Grand Amiénois ;

• impacte les tissus commerciaux existants, provoquant les réactions de défiance des organisations de commerçants d’Amiens mais aussi d’Abbeville, de Beauvais et de Saint-Quentin ;

• génère des flux de déplacements automobiles importants ;

• inaugure, au sein du Pays, un processus décisionnel peu satisfaisant et ouvrant la voie à des initiatives anarchiques et dommageables pour tous.

Le Conseil d’Amiens Métropole réaffirme son attachement profond aux solidarités territoriales et aux logiques de cohésion qui conditionnent l’existence du Pays du Grand Amiénois et la réussite de ses projets.

Il souhaite la tenue rapide d’un débat serein dans le cadre des institutions du Syndicat mixte du Grand Amiénois et propose à cet effet :

• la réalisation d’une étude impartiale permettant de collecter des informations précises relatives aux impacts de ce projet sur les activités commerciales de l’agglomération d’Amiens Métropole et du Pays du Grand Amiénois et ses potentialités en matière de création nette d’emplois ;

• sur la base de résultats obtenus, l’élaboration d’un projet commercial adapté à la Communauté de commune du Val de Somme et bénéfique pour le Pays du Grand Amiénois.

Revue de Presse - Lundi 20 avril 2009
Article paru sur le site Amiens.fr

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Pourquoi les Villages des marques séduisent-ils les marques ?

Revue de Presse

Village des marques : pourquoi les marques s'y pressent

Pour Marithé et François Girbaud, être présent dans un village des marques est hautement stratégique. Les "rossignols" de leurs collections précédentes y bénéficient d'une seconde vie. Jusqu'au bout. « C'est une façon de contrôler les fins de vie de nos produits dans un autre réseau de vente », confie Muriel de Lamarzelle, directrice de la communication de cette marque française de prêt-à-porter, représentée dans 2 500 points de vente et qui a généré 220 M€ de chiffre d'affaires en 2008.

Impossible de brader des invendus, qui ont déjà été soldés, dans la même boutique traditionnelle. Ces marques dégriffées se proposent donc dans un réseau différent. « Ce ne sont pas les mêmes clients que dans les centres-villes. Nous avons fait un test en invitant nos clients

des villages de marques dans nos magasins de centre-ville où se déroulait une opération commerciale spécifique. Ils ne sont pas venus », poursuit Muriel de Lamarzelle. Confortant son propos, elle ajoute : « Le client-type de nos boutiques dégriffées est un habitué dépensant en moyenne 200 à 250 €. » A l'étranger, les produits Girbaud sont « adaptés » au pays. Les collections peuvent ne pas être exactement les mêmes, au niveau des finitions par exemple. Une façon supplémentaire de moins concurrencer les boutiques traditionnelles de la marque à Barcelone, Perpignan ou Montpellier.

À la Roca village, en Espagne, ou à la Vallée village, à Marne-la-Vallée, près de Paris, qui dépendent de la même maison-mère, Value Retail, ce ne sont pas des hangars à fripes qui vendent aux fashion victims. Les magasins se veulent chics. Bien organisés. Décorés avec goût. De plus, « ce sont nos propres boutiques et elles sont animées par nos propres vendeurs formés chez nous ».
Par ces temps de crise économique, ces villages commerciaux sont une belle oasis : « Nous n'avons remarqué ni de hausse ni de baisse de chiffre d'affaires dans nos boutiques de villages commerciaux », dit Muriel de Lamarzelle.

Les marques reversent jusqu'à 20 % de leur chiffre à ces destockeurs, en échange de services, promotion et marketing, sécurité, etc. Mais, en contrepartie, la marque ne paie habituellement pas de loyer. Du gagnant-gagnant, en somme.

O. SC.

Revue de Presse - Dimanche 26 avril 2009
Article paru sur le site Midi Libre

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L'influence et l'impact des Villages de marques

Revue de Presse

Dossier
Plongée dans l'univers des villages de marques

Marques Avenue doit créer un village des marques à Montpellier. L'annonce a été faite fin mars. Connaissant l'intérêt que ce genre de concept rencontre auprès des consommateurs, sachant aussi les polémiques qu'il peut susciter, Midi Libre a voulu faire le point sur l'impact de ce type de centres commerciaux. En se rendant d'abord dans l'un d'eux, installé entre Gérone et Barcelone, en faisant ensuite le point à Troyes (Aube), la capitale française des centres de marques. Puis en donnant la parole aux consommateurs, aux élus consulaires, aux marques de prêt-à-porter. En route.


Pour payer moins, il faut payer de sa personne. Tailler la route - 315 km de Montpellier -, jusqu'à la Roca del Vallès, village niché entre Gérone et Barcelone. Au premier

--> virage après l'autoroute (sortie 12), un autre village, assemblage de dizaines de maisonnettes, est sorti de terre en 1998 : 100 boutiques chics offrent là des étiquettes choc (de - 30 % à - 60 %, voire - 80 % lors de soldes) aux amateurs malins, prêts à dépenser dans cette principauté du tiroir-caisse entre 500 et 700 €. Les marques y écoulent leurs invendus, principalement textiles, des saisons précédentes.

Même dans son architecture, le concept est très étudié. Une galerie marchande à ciel ouvert, sécurisée, s'organise autour d'une rue centrale pavée, dotée de bancs, d'allées proprettes. Le décor est léché, quoique artificiel, copiant même de grands architectes comme Gaudi, et évoquant la fameuse série TV Le Prisonnier. Une poignée de sociétés ont tenté le pari. Ce fut l'effet domino : dopées par la martingale, les plus grandes (Agnès B., Versace...) s'y pressent pour proposer de l'outlet : du dégriffé, dans la novlangue. Comptoir des Cotonniers vient de s'installer et le centre a l'autorisation de s'agrandir.

Dans ce temple de l'avoir, tous veulent en être . Ce village de marques, l'un des neufs du groupe Value Retail, draine, à lui seul, 2,7 millions de clients par an, dont 40 % de touristes. Hugo Boss (femmes) a, nec plus ultra, ouvert une boutique provisoire. Rare. Affairées, les clientes sont incrédules. « Il y a des vestes à moins de 130 € quand il en coûte normalement 660 €... C'est une vraie liquidation qui, en plus, nous fait découvrir une marque de luxe », dit une cliente.

Originaires de Toulouse et Biarritz, en vacances à Rosas, deux couples annoncent : « Pour des fringues basiques et intemporelles, c'est parfait. Certains magasins valent le coup. Dans d'autres, il faut comparer. »

En vacances à Perpignan, originaire de Bordeaux, une famille est au grand complet : ses douze membres s'affairent dans les allées de ce shopping organisé. Méthodiques, Charles, 33 ans, qui travaille dans la finance, et Alexandra, 30 ans, ont prévu d'acheter « une plancha et des chaussures de sport ».

Demeurant à Cahors, en vacances dans une auberge de jeunesse à Barcelone, Adnan, 20 ans et Esther, 18 ans, étudiants, repèrent. Leur budget ? « Ce ne sera pas 1 000 € ! », s'esclaffent-ils.

Nicole, venue du Val-d'Oise, se pose sur un banc d'une aire de jeux pour enfants. « Nous avons un village identique à Marne-la-Vallée. » Son gendre a acheté une chemise de luxe. « Il y a aussi, c'est nouveau, des affaires à faire en vaisselle. L'idéal, c'est d'avoir l'habitude. C'est à se demander quel est le vrai prix des choses... »

En maison secondaire à Rosas, originaires de Vézénobres (Gard), un couple et leurs enfants disent : « C'est sécurisé, pratique et intéressant. Et un nombre important de marques y est concentré. Pas comme à Barcelone. Et puis, il n'y a pas de voitures. » « Ce n'est pas la collection de l'année, mais c'est du moitié prix assuré. Et puis, cela ne fera pas de tort au petit commerce », estime Annick. « Mais ce qui est dépensé ici ne le sera pas dans le petit commerce traditionnel », rétorque son mari, Didier, 43 ans, fondateur d'une boîte d'intérim à Alès. La saison touristique s'amorce. L'affluence ne viendra pas forcément du printemps des musées.

Olivier SCHLAMA

Les Français en masse Le samedi, plus de 21 000 touristes se croisent à la Roca del Vallès, dont une bonne part arrive en bus via l'autoroute (18 millions de véhicules / an) qui dessert Port Aventura (Tarragone) et Barcelone. Ces amateurs sont, en majorité, des Français, en villégiature sur la Costa Brava. Et des Espagnols. « Hors CEE, dit un porte-parole, nous avons des Brésiliens, des Russes, des Asiatiques. Nos clients connaissent bien les marques, la qualité et les prix. »

Revue de Presse - Dimanche 26 avril 2009
Article paru sur le site Midi Libre
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